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En fait, non pas l'iridium, mais la façon dont il est lié à la plume, peut influer sur une partie des caractéristiques d'élasticité : comme indiqué dans mon message précédent, on voit bien sur les photos la limite de l'or et de l'iridium.silverado a écrit :Par contre, je ne comprends pas cette histoire d'iridium....?
Si l'on conçoit aisément que de cette pointe peut dépendre la glisse, la précision, voire même le "chant" de la plume, il n'intervient - ne peut intervenir - dans l'élasticité de celle-ci.
Merci Hobie cat : le brouillard s'éclaircie un peu !Hobiecat a écrit :En fait, non pas l'iridium, mais la façon dont il est lié à la plume, peut influer sur une partie des caractéristiques d'élasticité : comme indiqué dans mon message précédent, on voit bien sur les photos la limite de l'or et de l'iridium.silverado a écrit :Par contre, je ne comprends pas cette histoire d'iridium....?
Si l'on conçoit aisément que de cette pointe peut dépendre la glisse, la précision, voire même le "chant" de la plume, il n'intervient - ne peut intervenir - dans l'élasticité de celle-ci.
Les plumes anciennes étaient soudées par fusion, puis en donnant la forme de la pointe par forgeage et/ou meulage. Il en résultait certaines caractéristiques en extrémité de plume (par analogie avec le bois, les "fibres" métalliques sont allongées dans le sens de la plume). Le soudage par fusion crée aussi une zone métallurgiquement modifiée de quelques millimètres côté or (on parle de ZAT en métallurgie : zone affectée thermiquement), ce qui peut influer aussi sur les caractéristiques de la plume
Les plumes modernes quant à elles sont soudées par résistance électrique. La délimitation de la boule d'iridium avec la plume en or est très fine et il n'y a pas, contrairement au cas précédent, de modification métallurgique de la plume, qui reste dans son état métallurgique initial. Il s'ensuit des caractéristiques différentes en extrémité de plume.
La comparaison de JVA a donc du sens pour voir l'incidence des extrémités de plume sur le contact avec le papier et j'attends avec impatience les conclusions de la seconde partie de l'étude !
Ce n'est pas nécessairement le stylo qui est maintenu, je pense, Armand, mais surtout l'appareil !moulay armand a écrit : Mais avec quoi est maintenu le stylo, pour avoir une photo aussi nette
Pollux a écrit :Bonne idée, Plume !
Et le poids d'iridium de chaque plume aussi, JVA, s'il te plait ...
C'est que je n'ai pas tous les outilsPlum73 a écrit : Dans la suite, pourras tu simplement nous préciser la taille exacte de l'iridium pour pouvoir réellement comparer.![]()
Il suffirait de mesurer avant la réalisation de la photo et d'incruster la valeur à droite en bas de la photo.
Cela ne devrait pas te prendre trop de temps.
Tungstène, osmium, parfois un peu de ruthénium, platine pour la soudabilité sur l'or. Bref, c'est un alliage complexe de métaux très durs, mais plus faciles à trouver que l'iridium (et surtout moins chers...)BillHoony a écrit :Qu'est-ce qui remplace l’iridium sur les plus modernes ?
C'est meilleur au niveau de la résistance de l'usure et de la fiabilité ?Hobiecat a écrit :Tungstène, osmium, parfois un peu de ruthénium, platine pour la soudabilité sur l'or. Bref, c'est un alliage complexe de métaux très durs, mais plus faciles à trouver que l'iridium (et surtout moins chers...)BillHoony a écrit :Qu'est-ce qui remplace l’iridium sur les plus modernes ?
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