Présentation
Posté : 23 oct. 2022 15:51
Bonjour à tous,
Merci de m’avoir accueillie dans votre communauté!
J’ai une passion pour tous les stylo-plume, des V-pen jetables à trois euros aux beaux stylos vintage….
J’ai été « initiée » par mon papa, qui m’avait offert une parure Montblanc Carrera à l’occasion de ma première communion. A l’époque tout le monde écrivait au stylo plume à l’école. La marque la plus habituelle en Espagne était Stypen (que nous prononcions « estipen »)
Les « grandes marques » produisaient également des stylos pour les écoliers, tels le Nononsense de Sheaffer, le Jotter de Parker, le Jif de Waterman… et ce fameux Carrera.
Avec les années mon père m’a (nous) a offert des stylos de plus grande valeur, ou plus originaux, un petit meistertuck tout fin pour mes 18 ans, des stylos à plume rétractable (un harley Davidson fait par Stypen), un Montegrappa argenté tout fin, un stylo Aurora merveilleux…
En fait chaque visite à mes grands-parents à Saragosse était l’occasion d’ une visite à l’échoppe de son ami « el plumillas », et nous n’en repartions jamais les mains vides.
Les soldes des magasins de cadeaux de luxe (briquets maroquinerie et objets d’écriture) étaient aussi l’occasion pour lui de m’offrir d’autres jolis stylos, dont un Omas tout mignon dans son étui en cuir blanc pour le protéger au fond du sac, un Montblanc bohème (qui ne coûtait pas du tout ce qu’on paye maintenant pour cet objet)…
Au cours des dernières années il a donné presque tous ses stylos à mon frère, qui partage cette passion et est bien plus soigneux que moi. Il m’a donné ceux qui étaient plus fins, en a aussi offert un ou deux à un de mes neveux, à ma petite sœur… et, me connaissant bien, il m’en a donné un ou deux peu chers mais originaux (dont le twist de pelikan)
Lors de nos promenades dans Barcelone et les villages alentour, il lui arrivait de m’offrir un stylo d’écolier que j’avais trouvé mignon, car il me connaissait bien et savait que ces stylos bon marché m’amusaient encore plus que ceux des grandes marques…
L’année dernière, avant Noël, mon neveu César a eu cette réflexion : « grand-père offrait toujours des stylos et des montres. Tu as pris le relais pour les stylos, mais qui va s’occuper des montres? »
Un de mes grands plaisirs est donc de transmettre l’amour des stylos, même très bon marché, pourvu qu’ils soient agréables à manier et/ou originaux, et je m’y emploie à la moindre occasion, même au travail, où je dévoile régulièrement à mes jeunes patients les stylos que je promène dans mon sac.
Je suis horriblement bavarde! Et j’ ai un avis sur tout (ou presque)
Si je vous saoule, faut me le dire!
Noémie, alias Brújula
Merci de m’avoir accueillie dans votre communauté!
J’ai une passion pour tous les stylo-plume, des V-pen jetables à trois euros aux beaux stylos vintage….
J’ai été « initiée » par mon papa, qui m’avait offert une parure Montblanc Carrera à l’occasion de ma première communion. A l’époque tout le monde écrivait au stylo plume à l’école. La marque la plus habituelle en Espagne était Stypen (que nous prononcions « estipen »)
Les « grandes marques » produisaient également des stylos pour les écoliers, tels le Nononsense de Sheaffer, le Jotter de Parker, le Jif de Waterman… et ce fameux Carrera.
Avec les années mon père m’a (nous) a offert des stylos de plus grande valeur, ou plus originaux, un petit meistertuck tout fin pour mes 18 ans, des stylos à plume rétractable (un harley Davidson fait par Stypen), un Montegrappa argenté tout fin, un stylo Aurora merveilleux…
En fait chaque visite à mes grands-parents à Saragosse était l’occasion d’ une visite à l’échoppe de son ami « el plumillas », et nous n’en repartions jamais les mains vides.
Les soldes des magasins de cadeaux de luxe (briquets maroquinerie et objets d’écriture) étaient aussi l’occasion pour lui de m’offrir d’autres jolis stylos, dont un Omas tout mignon dans son étui en cuir blanc pour le protéger au fond du sac, un Montblanc bohème (qui ne coûtait pas du tout ce qu’on paye maintenant pour cet objet)…
Au cours des dernières années il a donné presque tous ses stylos à mon frère, qui partage cette passion et est bien plus soigneux que moi. Il m’a donné ceux qui étaient plus fins, en a aussi offert un ou deux à un de mes neveux, à ma petite sœur… et, me connaissant bien, il m’en a donné un ou deux peu chers mais originaux (dont le twist de pelikan)
Lors de nos promenades dans Barcelone et les villages alentour, il lui arrivait de m’offrir un stylo d’écolier que j’avais trouvé mignon, car il me connaissait bien et savait que ces stylos bon marché m’amusaient encore plus que ceux des grandes marques…
L’année dernière, avant Noël, mon neveu César a eu cette réflexion : « grand-père offrait toujours des stylos et des montres. Tu as pris le relais pour les stylos, mais qui va s’occuper des montres? »
Un de mes grands plaisirs est donc de transmettre l’amour des stylos, même très bon marché, pourvu qu’ils soient agréables à manier et/ou originaux, et je m’y emploie à la moindre occasion, même au travail, où je dévoile régulièrement à mes jeunes patients les stylos que je promène dans mon sac.
Je suis horriblement bavarde! Et j’ ai un avis sur tout (ou presque)
Si je vous saoule, faut me le dire!
Noémie, alias Brújula
Valenciennes ? Voilà qui a dû te changer… 
