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Voici un stylo que beaucoup connaissent parfois que de nom: le sheaffer Snorkel.

un petit tube sort pour le remplir d'encre par un système de depression.

bref: des ressorts, cahoutchouc, plastic, vis, etc... de quoi en faire un stylo bien compliqué comme je les aimes.

un stylo tout simple en plastoc gris bien cheap::


une plume or 14k, rien de bien spécial:



on devisse l'arrirère et .... hoooo, un petit tube sort sous la plume telle la trompe d'un papillon.


Il faut tirer sur l'arrière pour faire sortir le piston qui en étant repoussé provoquera une pression qui comprimera un sac caoutchouc qui en se décomprimant aspirera l'encre par le tube.
ouf! c'est dit.


si on démonte tout cela: voila ce qu'on trouve dans ce vulgaire stylo en plastoc:

Ces Snorkel sont des rêves d'ingénieur. Ah, les bagarres de l'époque pour prendre de l'avance sur les collègues et tenter de vivre avec les stylos à bille, pour faire que le client ne salisse ni ses mains ni son stylo. Je n'ai jamais été un grand fan des Snorkel à cause de leur complication (quand j'adore les Touchdown), mais c'est marrant comme tout à utiliser, même si la contenance est un peu faible. Sympa d'en montrer un démonté.

Jimmy

Et, encore un stylo que je ne connaissais pas !

Le titre est parfaitement choisi et c’est impressionnant d’ingéniosité ce petit stylo.

Si j’ai tout compris le sac en caoutchouc s’enfile dans le tube à sac ?
Et dans tout ça, il n’y a pas de joints ?

Chapeau pour l’explication et merci pour l’autopsie d’un étrange stylo.

en fait il y a un sac dans la partie métallique à laquelle est fixé le tube. Cette pièce en métal est percée de 2 trous.

Le piston a un joint qui lui permet en rentrant de créer une pression. Cette pression comprime le sac. Celui-ci fini par reprendre sa forme et aspire l'encre si on a bien pensé à immerger le tube.

Je me disais bien qu’il fallait un joint quelque part !

Merci dolly, c’est clair mais waouh que c’est compliqué.
Ce stylo a le mérite indéniable de ne pas être comme les autres…..à l’intérieur.

Intéressante curiosité.

J'avais 12 ans en 1961 et ce fut mon tout premier stylographe de "grand". Seule différence, il était noir et c'était le même que celui de mon papa. On les remplissait dans un encrier de forme plus ou moins cylindrique et je me souviens que l'on plongeait le schnorchel dans petit espace délimite par une petite paroi en verre et situe dans le haut de l'encrier. Papa aimait beaucoup l'encre turquoise de la firme Schaeffer.

Je serais heureux d'en retrouver un semblable.