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Bonjour à toutes, bonjour à tous;

Les stylos sont toujours présentés "capuchon posté", dans les catalogues et dans les vitrines des revendeurs.

Je suis du genre soigneux avec mes stylos (voire maniaque pour certains, mais bon...) et je crains toujours que le frottement du capuchon sur l'arrière du corps du stylo provoque à terme marques et rayures.

Quel est votre avis ?

François

Bonjour !
En effet, je me suis déjà fait cette remarque sur les sites & catalogues, alors que je sais que certaines personnes ne supportent pas d'écrire avec le capuchon posté (ou, comme vous, ne veulent pas rayer le corps, ce qui est le cas quand on le poste tout le temps, surtout pour les stylos en résine).

En ce qui me concerne, je ne peux m'empêcher de poster le capuchon (même sur un 149) !
Enfin bon, un coup de Mirror et c'est reparti !!

J'ai les mêmes réserves, et finalement je trouve plus agréable d'écrire sans capuchon, même avec un stylo très court (Micra de montegrappa).
Le fixer me permet seulement de contrôler le savoir-faire du fabricant, en vérifiant que l'agrafe est alignée sur l'axe de la plume.

C'est une question que je ne me suis jamais posé...

J'ai tendance à mettre le capuchon au bout du stylo quand j'écris , certains ne me laisse pas le choix comme le bohème de Montblanc ou le bouchon se visse au cul du stylo pour faire sortir la plume.

Pou les traces je rejoins Julp et me dit qu'un bon coup de Mirror fait bien l'affaire. Les traces donnent à mes yeux une valeur supplémentaire les traces de vie de cet outil

OK timanu mais pour une Urushi noir sur un yukari, j'ai peur de l'abimer.

Le capuchon posté peut tomber s'il n'est pas suffisamment bien fixé, il alourdit souvent la ligne du stylo, ajoute parfois trop de poids, et si les traces d'usage font partie de ce que l'on aime de son stylo, celles-là viennent trop vite et de façon trop appuyée à mon goût, avec un contraste entre comme neuf et usagé que je n'aime pas tellement.

Bref, pour ma part je ne le fais plus jamais, et pendant que j'écris je trouve un endroit sûr pour le capuchon (surtout pas derrière un livre à 10 cm du bord de la table ! Comment ça expérience vécue ? mais jamais avec un "beau" stylo

Il est vrai j'ai des souvenirs de lycée où je tenais le capuchon dans la main gauche alors que j'écrivais de la main droite

Résultat la transpiration a ruiné le capuchon... puis j'ai mis au bout du stylo souvent à cause du fait que j'utilise tres souvent des stylos de petite taille et qu'ainsi je gagne quelques centimètres et un équilibre

Toutefois faut il absolument établir une règle ?

Pour ma part je suis d'avis de faire au senti selon le modèle et les envies de chacun

De mon coté, je ne poste pratiquement jamais le capuchon. En dehors du fait que je crains que le capuchon ne marque le corps du stylo (avec un maki-e, ça tient du sacrilège !), je trouve que l'équilibre du stylo est nettement dégradée, avec un poids plus important vers le haut. Je n'aime pas du tout cette sensation. Seul problème, j'ai tendance à laisser traîner le capuchon n'importe où et il m'arrive parfois de le chercher pendant 5 minutes ! (quoi ? bordélique moi ? à peine )

Pour les stylos en laque urushi (Nakaya et Platinum), on déconseille le port du capuchon sur le corps. D'abord car il tient mal, la laque glisse. Ensuite parce que ce l'on risque d'user non pas la laque urushi, mais le pas de vis à l'intérieur du capuchon qui lui est en ébonite sur ces modèles. Platinum dans sa nouvelle plaquette pour le IZUMO en laque, déconseille formellement le port du capuchon sur le corps : il faut dire que pour cette nouvelle forme, le capuchon ne peut pas tenir longtemps...

Tout cela pour rajouter ma contribution au club de ceux qui ne postent pas le capuchon sur le corps ! J'ai aussi des capuchons Sailor en résine cassés, car tombés de leur position postée sur le corps : soit on appuie très fort et le capuchon tient bien en place, soit on appuie légèrement et souvent il tombe.

Le mieux pour ceux qui souhaitent un capuchon posté, c'est le système développé pour le Mini Sapporo avec un vissage spécial réservé au capuchon à l'extrémité du corps.