www.stylo-plume.org

Plum73 a écrit :

LYTH a écrit :Les instituteurs NE SONT PAS des magiciens.

Les parents devraient être des magiciens pour leurs enfants et leur apprendre à se servir d'une plume.
Ouf, j'ai réussi à caser une plume pour ne pas être hors sujet.

Je suis bien d'accord avec toi mais beaucoup préfèrent se reposer sur l'école, plus pratique pour la bonne conscience à peu de frais. Pas tous heureusement.

LYTH a écrit :

Plum73 a écrit :

LYTH a écrit :Les instituteurs NE SONT PAS des magiciens.

Les parents devraient être des magiciens pour leurs enfants et leur apprendre à se servir d'une plume.
Ouf, j'ai réussi à caser une plume pour ne pas être hors sujet.

Je suis bien d'accord avec toi mais beaucoup préfèrent se reposer sur l'école, plus pratique pour la bonne conscience à peu de frais. Pas tous heureusement.

Les mêmes se reposent sur l'hôpital pour s'occuper de papy et mamy pendant leurs vacances à plume-les-bains….
Promis, j'arrête.
Demain, je vais prendre un bol d'air frais en Suisse.

LYTH a écrit :

Plum73 a écrit :

LYTH a écrit :Les instituteurs NE SONT PAS des magiciens.

Les parents devraient être des magiciens pour leurs enfants et leur apprendre à se servir d'une plume.
Ouf, j'ai réussi à caser une plume pour ne pas être hors sujet.

Je suis bien d'accord avec toi mais beaucoup préfèrent se reposer sur l'école, plus pratique pour la bonne conscience à peu de frais. Pas tous heureusement.

Totalement hors sujet, bravo les modéralisateurs... !!! Et svp ne prenez pas les instituteurs pour des billes !!!

Et de toutes façons c'était mieux avant 1989, enfin je suis plus très sûr de la date de Georges...

LYTH a écrit :Je me permets de rappeler pour mémoire que les instituteurs NE SONT PAS des précepteurs qui peuvent s'occuper de chaque élève individuellement. Et taper sur la tête des enseignants du premier degré est devenu un sport national (mais que font-ils ? il fabriquent des terroristes !). Si on leur en demandait moins, ils auraient peut-être le temps de s'occuper de ce genre de chose. Par ailleurs, c'est aussi ce qu'ils font dans des ateliers décrochés sans pour autant recueillir le fruit de leurs efforts (l’inappétence progresse aussi au jeune âge). D'autre part, vouloir imposer la plume dans sa classe peut relever d'une prise de risque inconsidérée par rapport à la quantité de réclamations parentales qui ne manqueront pas d'en découler. Et quand bien même, dans un monde idéal, tout le monde jouerait le jeu, la moitié des élèves perdent systématiquement leurs affaires (et cela, du stylo au manteau) et se retrouveraient donc à écrire la moitié du temps au bille. Les instituteurs NE SONT PAS des magiciens.

Allez, ne nous mettons pas en colère, il est certain que l'on fait ce qu'on peut avec ce que l'on a . Les moyens dont nous (enseignants) disposons sont parfois faibles et les situations des enfants sont parfois terribles. Si nous avons "la liberté pédagogique" nous avons aussi les parents et le programme à appliquer. Je regrette simplement que des choses simples, pratiques soient oubliées au profit de modes électroniques, "simplificatrices" qui font oublier certains petits gestes bien efficaces que l'on ne peut pas forcément mettre en oeuvre par lassitude, obligation ou fatigue. Fermons le ban et revenons aux joies stylographiques... sans rancune

J'aime bien les billes !
J'ai gardé au fond de ma poche un stylo bille pendant des tas d'années : un mini rotring vert qui m'avais couté un peu plus d'une nuit de travail complète (payé 129 francs) j'aimais bien sa prise en main facilité par l'extension de son corps mais surtout sa discrétion. J' avais rêvé plusieurs mois à cet achat déraisonnable, devant la vitrine du magasin. Avant de cédé ce lendemain de garde, désinhibé par l'absence de sommeil.
Il fut complété par un hémisphère (en bille, suivez NDD !) dont le centre de gravité lui permis de s'accorder avec ma façon de tracer les lettres (que beaucoup n'appellerais même pas écrire tellement je suis difficile à lire)
J'en suis aujourd'hui à mon troisième exemplaire ( 2 pertes en en 15 ans) et si je le délaisse depuis ma redécouverte des plumes, je suis toujours agréablement surpris par sa faculté à rouler sur le papier et son équilibre en main, qui en fait un vieux compagnon d'aventure.
Donc non, je ne brulerais pas mes anciennes idoles et mêmes si les plaisirs de la plumes sont plus divers, plus intenses, (plus snob aussi, peut-être ?) je confesse aimer aussi quelques billes.

toqué a écrit :J'aime bien les billes !
J'ai gardé au fond de ma poche un stylo bille pendant des tas d'années : un mini rotring vert qui m'avais couté un peu plus d'une nuit de travail complète (payé 129 francs) j'aimais bien sa prise en main facilité par l'extension de son corps mais surtout sa discrétion. J' avais rêvé plusieurs mois à cet achat déraisonnable, devant la vitrine du magasin. Avant de cédé ce lendemain de garde, désinhibé par l'absence de sommeil.
Il fut complété par un hémisphère (en bille, suivez NDD !) dont le centre de gravité lui permis de s'accorder avec ma façon de tracer les lettres (que beaucoup n'appellerais même pas écrire tellement je suis difficile à lire)
J'en suis aujourd'hui à mon troisième exemplaire ( 2 pertes en en 15 ans) et si je le délaisse depuis ma redécouverte des plumes, je suis toujours agréablement surpris par sa faculté à rouler sur le papier et son équilibre en main, qui en fait un vieux compagnon d'aventure.
Donc non, je ne brulerais pas mes anciennes idoles et mêmes si les plaisirs de la plumes sont plus divers, plus intenses, (plus snob aussi, peut-être ?) je confesse aimer aussi quelques billes.

Il y en a qui ont dit ça sur ce forum... et qui on eu des problèmes !

Moi je ne déteste pas les billes mais ne les aime pas non plus: ils ont l'indéniable avantage d'être tout-terrain et d'utiliser une encre qui résiste à l'eau. Dans les transports en commun ils sont de loin le choix le plus judicieux.
Cependant ils n'écrivent pas toujours avec une grande facilité, et leur tracé manque de densité et de contraste. Exactement l'inverse du plume, quoi!
Bref j'écris au plume chaque fois que je peux et que ce n'est pas contraire à la raison, et au bille quand il s'avère que c'est le bille qui est l'outil le plus adapté.

toqué a écrit : je confesse aimer aussi quelques billes.

Et heureusement : ma femme vient de m'offrir un parker sonnet bille fine pour nos 10 ans de vie commune

J'adore les stylos-billes
Eux, au moins, je les prête sans difficultés...

Je préfère les stylos-plumes qui apprennent à mieux tenir les instruments d'écriture.
On peut le garder en changeant d'encre, faire une longue route avec eux.
Et j'ai comme l'impression que si on s'en servait tous, il y aurait peut-être un meilleur soin apportés à ces outils en général.