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Écrire est toujours un moment de plaisir. Je m’installe n’importe où je puis poser un papier et sortir un parmi mes quelques stylos. J’ai écrit ce petit récit lors d’un voyage en train, entre Bruxelles et Tournai et il est dédié à Alphonse Boudard.
C’est la partie en prose d’un « Haïbun », une composition littéraire dans laquelle prose et haïku se mêlent en une brève narration poétique d’une expérience réelle ou imaginaire.

Stylo Lamy 2000, plume F, encre Lamy sur bloc Rhodia N°16



…. et la partie haïku :
automne urbain ~
la fontaine Médicis
noyée dans la brume

Quant aux 400 cartes de vœux qui m'attendent dans les semaines qui viennent, comment pourrais-je même imaginer les écrire sur un ordinateur ?

Philippe

phcook a écrit : ↑20 nov. 2023 18:58 Quant aux 400 cartes de vœux qui m'attendent dans les semaines qui viennent, comment pourrais-je même imaginer les écrire sur un ordinateur ?

Philippe

En rédigeant une seule et même carte et l'envoyant à l'adresse e-mail de chacun des 400 destinataires d'un seul coup. De quoi libérer de longues soirées d'hiver pour s'adonner, désormais sans contrainte, à sa passion calamophile la plus débridée.

Avant ma récente découverte du stylo à plume, l'écriture était une corvée pour moi. Je suis inscrit à des cours d’arabe et d’anglais, mais ma progression était limitée car je me contentais de lire les mots de vocabulaire au lieu de les écrire. De plus, lorsque l'inspiration me prend d'écrire quelque chose avec mon nouveau stylo plume – durement acquis haha – mais que je ne sais pas quoi écrire, je me tourne vers des mots de vocabulaire.
Désormais, j'éprouve du plaisir à les écrire, et je constate une amélioration dans ma progression.

Sinon le peu de cours que j’ai en Master 2 sont écris avec une plume. J'opte pour une plume fine, car c'est plus adapté pour écrire des calculs.