L’un ne va pas sans l’autre alors je n’en choisis aucun. Le premier est aussi austère que le second est flamboyant ... Pelikan 100, 1933 et Waterman Ink-Vue, Emerald Ray, 1935. L’Amérique toute affairée en Art déco pendant que cela gronde de l’autre côté du Big Pond.
Le Pelikan 100 ne supporte ni l’approximation dans le trait ni le papier médiocre. Plume fine, flexible, extrêmement sensible, un peu sauvage. Redoutable légèreté de l’ensemble, présence acérée, il vaut mieux savoir ce qu’on fait quand on le prend.
Mais on n’est pas déçu du voyage ...
L’Ink-Vue fait un cinéma pas possible, plume medium rigide mais onctueuse, attributs Art déco jusqu’au bout du capuchon, on finit par arrêter d’écrire pour le regarder ... mais on aurait tort de s’arrêter trop longtemps ...
pour les détails , c'est par <<
ici >>pour l’histoire de la sémillante créature, il y a >>
ici <<une remarquable synthèse de David Nishimura , quant à l’ombrageux et séduisant 100, je renvoie à l’incontournable Rick Propas ,
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ici<<