SDD du 29 septembre 2024 : Les défauts rédhibitoires

[toffou]

Je préfère de très très loin le Preppy (Platinum) qui est bon marché, ne paye pas de mine...

Un stylos-plume qui ne paye pas de mine, je reconnais bien là ton humour subtil...

[senzen]

Les stylos qui ont toujours des problèmes pour démarrer, par exemple les Parker Sonnet our Platinum Cool qui sèchent en quelques heures; j'ai fini par les ranger, pour ne pas les utiliser comme fléchettes.

Les stylos hyper fragiles, genre Waterman Concorde.

Les stylos "chers", au delà des $160 / €145; pas totalement logique de ma part quand j'ai dépensé six fois cette somme en stylos en 2023.

Les anti marques Chinoises: agrafe genre Parker, plume façon Sheaffer prétendument en titanium, Vacumatic à fenêtre, Makrolon fendu, virus et insecte mort dans la boîte gratuits.

Les stylos trop minces.

Même avec ces restrictions et pour un outil d'écriture mort dans la plupart des pays dans les années 60, il y a encore beaucoup de très bons stylos disponibles.

[Wathan]

Pour ma part c'est un remplissage par sac. Je regarde les vintages mais pas ce système. On peut faire remplacer un sac mais un piston est plus fiable. C'est dommage, certains Parker ont une très belle couleur..mais bon

[chichil]

De mon côté, outre les dysfonctionnements déjà évoqués, c’est essentiellement esthétique.
J’ai des goûts très éclectiques, mais un tout petit détail peut m’empêcher de passer à l’acte d’achat.
Notamment la forme de l’agrafe : une forme de flèche qui me rappelle cupidon, ou pire encore, deux yeux qui m’observent hypnotiquement.
Vous l’aurez compris, Parker et Pelikan ne sont pas pour moi.

Et à l’opposé de Jérôme, je déteste avoir à tremper la plume pour remplir un stylo. Les deux seuls systèmes de remplissage qui pourraient me faire changer d’avis sont ceux qui font appel à un système techniquement pointu : vacuum filler ou bulkfiller.

[Scriptitans]

Les formats trop propriétaires. Acheter un stylo et s'apercevoir que la plume est uniquement destinée à ce stylo, ne pas pouvoir en changer.
Ne pas pouvoir essayer tel bel objet avec une autre plume.
Pareil pour les convertisseur ou même les cartouches, les marques, comme moonman/majohn/machain par exemple (ou d'autres aussi bien sur) qui ont "leurs" propres standards 'des fois plusieurs par marque), rester coincé sans pourvoir charger un stylo neuf, obligé de mettre un à-peu-près du stock rempli à la seringue.

[Hobiecat]

Le seul défaut rédhibitoire de mon côté est la plume : si elle ne fonctionne pas ou est trop usée (ce qui arrive sur certains vintages), c'est polissage au micro mesh garanti. En revanche, je ne suis pas partisan du micromesh à tout va : sur tous mes stylos, il y en a quand même une très grande majorité qui fonctionnait parfaitement à réception, et heureusement.

Sinon, je partage l'avis de ne pas avoir de stylo laqué (hormis les Capless ), mais je ne classerais pas ça comme un défaut rédhibitoire : c'est juste que je trouve que ces stylos tiennent plus de l'œuvre d'art que du stylo-plume, donc je ne me vois pas écrire avec.

Pour le reste, la forme et les coloris sont du domaine des goûts et des couleurs, mais je partage l'avis d'Alain146 qu'un stylo, c'est noir.
Et pour le remplissage, tant qu'il est fonctionnel, il m'indiffère, même si bien sûr je classe en premier le choix japonais du convertisseur qui est le meilleur en terme de maintenance.

[silverado]

Alors… Dans le choix du stylo, tout ce qui ne se visse pas m'inquiète. La seule exception à ce jour étant l'Aurora Hastil.
Malgré leur charme, les systèmes à piston et Vac fill m'inquiètent aussi (par expérience).
Esthétiquement, un décalage trop important entre le capuchon et les corps du stylo me gêne. Bien sûr, cela implique une section longue afin que ce step ne devienne inconfortable…
Du point de vue de la matière, et toujours dans l'optique de garder l'objet en parfait état : pas de métal qui risque de se déformer en cas de choc, pas de celluloide (sauf les celluloides noirs made in Germany des années 30 à 60, pas d'ébonite ("Hard rubber") sauf bien protégé par quelques couches de laque Urushi (mais sans motifs artistiques) et surtout pas de galalithe (qui craint encore plus l'eau que sir Winston C !) Je déteste aussi les plumes en or qui se camouflent entièrement sous une couche de platine; tout comme les plumes d'acier plaquées or !
Si je ne dis pas qu'un stylo c'est noir j'aime bien que cet outil soit discret… Là aussi, la forme doit suivre la fonction, et puis less is more
Les stylos trop gros m'agacent, c'est très "m'as tu vu" et ça n'apporte rien ni au stylo ni au confort.
Et bien sûr, tous les dysfonctionnement énoncés plus haut, au premier rang desquels un débit trop faible.
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui

[timanu]

Avec un peu de retard,

les défauts rédhibitoires :

> les plumes trop fine genre EF ou F
> les plumes wet noddles qui font une génuflexion et des pâtés partout des que j'émets l'idée des les faire travailler
> les trop gros et aussi les trop fins pas confortable dès qu'on écrit plus de 3 mots
et bien sur comme tous ici les stylos à débit aléatoire

les défauts tolérables

> les bouchons qui se vissent
> les recharges propriétaires "exotiques" acceptables si on peut remplir même à la seringue...
> les plumes trop longues au delà d'une plume N°4 difficiles à manier car je tiens mal mes stylos très près de la plume ma taille idéale étant N° 2 ou 3 et bien sur les plumes capotées ou enchâssées de type CF

[mahault]

Une plume en dessous du M

un stylo en matière trop fragile (particulièrement qui craint l'eau)

Une plume qui gratte

Un stylo trop fin (les bic classiques sont tout juste trop fins pour moi, je crispe avec)

Un stylo qui ne supporte qu'une marque d'encre, point bonus de l'horreur si c'est la même que celle du stylo