Vu mon âge avancé (non, je n'étais pas avec Losty mais pas loin ) et mes études chez les soeurs, bonnes et mauvaises (les soeurs, hein) , ce devait être un stylo plume sans marque vendu par l'"Economat" Donc en sixième car en primaire, c'était encore le porte-plume puis le bille
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( by "Taranis" ) « Les poètes seuls parlent une langue suffisante pour l'avenir. » V. Hugo, Tas de pierres ca. 1875
J'ai eu des stylos plumes Reynold's pour commencer. J'ai aussi souvenir d'un stylo plume avec une pointe d'effaceur au cul du stylo. Si je me rappelle bien il était bleu et rose.
Le premier stylo dont je me souvienne le modèle, et que j'ai retrouvé récemment est un Parker Vector.
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"Si vous m'avez compris, c'est sans doute que je me suis mal exprimé !"
Alan Greenspan
Un Waterman Master noir mat (je pense que c'était un normal, pas un slim) avec des dorures, pour mon anniversaire avant l'entrée au CM2. L'odeur de l'encre m'avait hanté tout l'été.
LYTH Magnum : "But Higgins, I can explain !" Jonathan Quayle Higgins III : "I have studied Aristotle, Socrates, William Friedrich Hegel, Bertrand Russell. I have toured college campuses debating the virtues of dialectic versus symbolic syllogism. I have written scholarly articles on the need for a new, more dynamic logic. But nothing in my life has prepared me for the workings of the Thomas Magnum mind."
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Mon premier stylo-plume était un Parker 180 Classique Flighter reçu pour ma communion solennelle (12 ans) mais on me l'a volé au collège... Depuis lors, quelques Parkers et Watermans scolaires (vectors, héisphères, graduates,...) mais surtout en 2005 une parure Parker Sonnet qui ne m'a plus quittée depuis...
Nicobee
"L'acte d'écrire peut ouvrir tant de portes, comme si un stylo n'était pas vraiment une plume mais une étrange variété de passe-partout." Stephen King
Waterman graduate acier pour collège et lycée. Puis Man 100. Ce dernier reste mon stylo de tous les jours. On m'avait offert un Dupont en laque marron pour ma communion, mais je ne m'en suis jamais servi.
J'ai fini par surnommer mon chat "Brexit". Il me réveille en miaulant à la mort parce qu'il veut sortir et dès que je lui ouvre la porte il reste planté au milieu, indécis, et me jette un regard noir quand je le fous dehors.
Je ne me souviens plus de la marque.
Je ne me souviens plus en quelle année du primaire il m'a fallu débuter l'usage du stylo-plume. Ma mère a donc récupéré chez ses parents le stylo qu'elle avait utilisé pour sa scolarité. Il était noir et avait un piston pour le remplissage. Vu mes petites mains maladroites, c'était ma mère qui le remplissait le soir (et ça n'avait pas l'air facile).
Il n'a (évidement) malheureusement pas survécu longtemps à mon apprentissage de l'écriture. Inutile de vous dire que les stylos suivants furent des stylos bon marché à cartouches.
Je suis d’une génération où le stylo à bille n’était pas encore sur le marché, donc, j’ai appris avec ce « morceau de bois long » dans lequel on introduisait une plume ! Dans mon souvenir, deux types de plume, une très dure, très effilée qui permettait une écriture fine et j’adorais mais les notes (à l’époque, des notes d’écriture étaient décernées) n’étaient pas au rendez vous, puisqu’on ne pouvait y montrer que très difficilement les pleins-et-déliés (tant primés par les enseignants de l’époque...), alors il fallait choisir (au moment où la plume première donnait des signes de faiblesse) cette plume très souple et plus large mais qui, si elle accrochait le papier de moyenne qualité, au moment de la remontée de la lettre à effectuer, un arrêt immédiat ! Inutile de dire qu’après avoir soulevé légèrement la plume, les dégâts apparaissaient, sans compter les minuscules petites taches qui giclaient de la plume.... Bref, c’était ça et rien d’autre !
Mon premier beau stylo lui m’a été offert à mes 22 ans je pense, c’était un superbe Parker en laque verte de Chine avec plume, bague et accroche en plaqué or (or ?) magnifique moi qui adore le vert, mais l’encre séchait dans cette plume extra-fine et je ne pouvais m’en servir sans m’énerver...