Chez Omas bien sûr ! Ok ok bologne n'est peut être pas ma ville préférée en Italie. Cela dit turin non plus... Et puis qu'importe si je pouvais relier mes deux passions même à bologne je saute le pas.
Comme je suis mauvais en négociation je ne me propose pas pour vendeur sur le marché Français. Me reste donc la seule chose que je sais faire: créer la division expérience client et relier sous une même entité qualité, service clients, études marketing et écoute des idées des clients. Vous voyez ce me permettrait de toucher à tous les stylos défectueux et écouter tous les forums... Pas mal non ???
Sheaffer, pour réouvrir les usines de prod a fort madison, réintégrer l'ancien personnel pour former les nouveaux artisans à travailler les stylos de façon artisanale. Réintroduction du système vac fill et snorkel. Sélection des détaillants et revendeurs de vintages pour vendre les nouveaux sheaffer. Exit les plumes bock, et place à nouveau aux plumes maison.
georges zaslavsky a écrit :Sheaffer, pour réouvrir les usines de prod a fort madison, réintégrer l'ancien personnel pour former les nouveaux artisans à travailler les stylos de façon artisanale. Réintroduction du système vac fill et snorkel. Sélection des détaillants et revendeurs de vintages pour vendre les nouveaux sheaffer. Exit les plumes bock, et place à nouveau aux plumes maison.
Ha mais ça va pas du tout ça, Georges. Quand j'aurai racheté Waterman, tu seras chargé de faire exactement la même chose mais pour une marque Françaiaiaiaize. Que dirait De Gaulle s'il te lisait ? hein ?
georges zaslavsky a écrit :Sheaffer, pour réouvrir les usines de prod a fort madison, réintégrer l'ancien personnel pour former les nouveaux artisans à travailler les stylos de façon artisanale. Réintroduction du système vac fill et snorkel. Sélection des détaillants et revendeurs de vintages pour vendre les nouveaux sheaffer. Exit les plumes bock, et place à nouveau aux plumes maison.
Ha mais ça va pas du tout ça, Georges. Quand j'aurai racheté Waterman, tu seras chargé de faire exactement la même chose mais pour une marque Françaiaiaiaize. Que dirait De Gaulle s'il te lisait ? hein ?
Déjà chez waterman, faudrait virer les marketeux qui ont empêché la construction en édition limitée du man 100 et 200, dégager ceux qui ont positionné la marque en dessous de Parker et qui ont muté le SAV en Pologne et faudrait réapprendre à la marque à faire des plumes flexibles. De Gaulle écrivait avec un CF et si il voyait ce que sont devenues certaines de nos industries aujourd'hui, il se retournait dans sa tombe de colère et de honte, le pauvre.
georges zaslavsky a écrit :
Déjà chez waterman, faudrait virer les marketeux qui ont empêché la construction en édition limitée du man 100 et 200, dégager ceux qui ont positionné la marque en dessous de Parker et qui ont muté le SAV en Pologne et faudrait réapprendre à la marque à faire des plumes flexibles. De Gaulle écrivait avec un CF et si il voyait ce que sont devenues certaines de nos industries aujourd'hui, il se retournait dans sa tombe de colère et de honte, le pauvre.
Tout fout le camp mon pauvre Georges ! Même les expressions d'antan , aujourd'hui, on se retourne dans son urne ...
En lisant ce fil, je pensais à Sheaffer pour rouvrir Fort Madison, mais Georges est passé avant moi. Cependant, je me verrais bien choisir dans cette marque un stylo intemporel (comme le Meisterstuck 149) et le rendre immuable. Le PFM 3 par exemple.
Quand je vois l'activité déployée par mon camarade Carlo pour lancer et asseoir la réputation d'Edelberg (qu'il vient d'ailleurs de remettre entre les mains de son fils, si j'ai bien suivi), il est évident que je ne pourrais - ni ne voudrais - en faire autant. Le musée MB, peut-être ? Mais je crois que je préférerais encore m'occuper de celui d'Alain
Pierre "My two fingers on a typewriter have never connected with my brain. My hand on a pen does. A fountain pen, of course. Ball-point pens are only good for filling out forms on a plane." – Graham Greene "Ma parole, c’est l’écriture. A la main. Tant que je pourrai écrire une ligne, je serai présent parmi les vivants." - François Cavanna