PILOT MYU STRIPES
Posté : 25 févr. 2019 20:59
Le PILOT MYU Stripes a déjà été présenté dans ce forum, mais, comme promis, je vais y ajouter mon grain de sel :
On sait que le MYU fut fortement inspiré par le PARKER T1, qui était un tour de force technique, mais on s'intéressera ici essentiellement au style. Les deux stylos ont en commun le fait que la plume et le bloc avant ne font qu'un.
Mais là où le T1 ressemble à un stylo classique avec une plume effilée, le MYU a une tout autre esthétique : son corps est ellipsoïde, avec un bloc-plume très long et un corps très court, ce qui accentue le dynamisme de la ligne.
Ce n'est qu'un parti-pris stylistique, comme on le voit, le converter comme la cartouche s'enfoncent très profondément dans le bloc-plume :
On l'a déjà vu précédemment, le MYU est un petit stylo, trop court pour être utilisé sans capuchon.
Une fois le capuchon posté, la ligne est plus équilibrée, et le stylo peut venir se caler dans la main pour l'écriture.
L'impression de qualité est tangible, l'inox du bloc-plume, du corps et du capuchon se fait sentir dans la main. On pense à la même impression de solidité et de qualité que donnaient les produits photo ou audio japonais à cette époque, qui étaient très souvent habillés du même métal.
L'inspiration est clairement aéronautique : on voit comment l'agrafe se fond harmonieusement dans le bout du capuchon du stylo, et la touche de peinture noire au bout du capuchon suggère une sortie de réacteur ou de moteur-fusée !!
N'y a-t-il pas un peu de CONCORDE dans ce stylo ? On sait que le supersonique franco-britannique avait fait son premier vol peu de temps avant la sortie du MYU !!
Les rayures dynamisent la ligne : comme le savent les amateurs de BD, les filets suggèrent le mouvement : le MYU rayé semble bouger :
On l'a déjà mentionné, les rainures du MYU STRIPES, qui sont peintes en noir, constituent une surface antidérapante qui facilite la prise en main.
Le MYU a une plume effilée et plutôt raide, correspondant aux attentes du marché japonais : les caractère japonais kanji, hérités du chinois, nécessitent pour certains plus d'une dizaine de traits de plume :
Pour l'écriture cursive, le MYU n'est pas en reste, bien que ma préférence va vers des plumes plus larges. Cet exemplaire en plume M a un très bon débit d'encre, qui permet une glisse agréable.
Alors, pourquoi posséder un MYU STRIPES ?
Ce n'est peut-être pas la meilleure des plumes, mais la réunion de nombreuses qualités en matière d'originalité, de qualité de fabrication, d'agrément d'utilisation, et d'esthétique en font un stylo attachant.
On sait que le MYU fut fortement inspiré par le PARKER T1, qui était un tour de force technique, mais on s'intéressera ici essentiellement au style. Les deux stylos ont en commun le fait que la plume et le bloc avant ne font qu'un.
Mais là où le T1 ressemble à un stylo classique avec une plume effilée, le MYU a une tout autre esthétique : son corps est ellipsoïde, avec un bloc-plume très long et un corps très court, ce qui accentue le dynamisme de la ligne.
Ce n'est qu'un parti-pris stylistique, comme on le voit, le converter comme la cartouche s'enfoncent très profondément dans le bloc-plume :
On l'a déjà vu précédemment, le MYU est un petit stylo, trop court pour être utilisé sans capuchon.
Une fois le capuchon posté, la ligne est plus équilibrée, et le stylo peut venir se caler dans la main pour l'écriture.
L'impression de qualité est tangible, l'inox du bloc-plume, du corps et du capuchon se fait sentir dans la main. On pense à la même impression de solidité et de qualité que donnaient les produits photo ou audio japonais à cette époque, qui étaient très souvent habillés du même métal.
L'inspiration est clairement aéronautique : on voit comment l'agrafe se fond harmonieusement dans le bout du capuchon du stylo, et la touche de peinture noire au bout du capuchon suggère une sortie de réacteur ou de moteur-fusée !!
N'y a-t-il pas un peu de CONCORDE dans ce stylo ? On sait que le supersonique franco-britannique avait fait son premier vol peu de temps avant la sortie du MYU !!
Les rayures dynamisent la ligne : comme le savent les amateurs de BD, les filets suggèrent le mouvement : le MYU rayé semble bouger :
On l'a déjà mentionné, les rainures du MYU STRIPES, qui sont peintes en noir, constituent une surface antidérapante qui facilite la prise en main.
Le MYU a une plume effilée et plutôt raide, correspondant aux attentes du marché japonais : les caractère japonais kanji, hérités du chinois, nécessitent pour certains plus d'une dizaine de traits de plume :
Pour l'écriture cursive, le MYU n'est pas en reste, bien que ma préférence va vers des plumes plus larges. Cet exemplaire en plume M a un très bon débit d'encre, qui permet une glisse agréable.
Alors, pourquoi posséder un MYU STRIPES ?
Ce n'est peut-être pas la meilleure des plumes, mais la réunion de nombreuses qualités en matière d'originalité, de qualité de fabrication, d'agrément d'utilisation, et d'esthétique en font un stylo attachant.
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