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Je dois avouer que je n'ai pas encore osé encrer la plume en verre.
Elle m'intrigue beaucoup également, et j'ai peur d'avoir du mal à la nettoyer.
Lorsque j'aurais un peu de temps je la testerais et vous ferai un retour.

Je reposerai la question à mon père, mais je ne suis pas sûr que l'ami en question soit toujours en vie

Les verres et les céramiques ne craignent pas grand chose. Le seul problème c'est si ça sèche.

Si ça sèche - comme les chaussettes de l'archiduchesse qui sont sèches et archi sèches - sachez qu'il faut soit tremper la plume en verre dans l'encrier soit appuyer doucement sur le bouton pour faire perler une peu d'encre. Chi l'on appuie trop il faut alors abchorber la fuite colorée avec un buvard ou un chiffon, désolé cha chuinte un peu

Je n'avais pas vu cette partie,

Psyann a écrit :Je reposerai la question à mon père, mais je ne suis pas sûr que l'ami en question soit toujours en vie

mais j'ai pensé à cette hypothèse. Et je me suis dit non ce n'est pas bien de penser comme ça.

Jean.11 a écrit :Si ça sèche - comme les chaussettes de l'archiduchesse qui sont sèches et archi sèches - sachez qu'il faut soit tremper la plume en verre dans l'encrier soit appuyer doucement sur le bouton pour faire perler une peu d'encre. Chi l'on appuie trop il faut alors abchorber la fuite colorée avec un buvard ou un chiffon, désolé cha chuinte un peu

Un petit sourire en lisant la phrase. Je suis quand même curieux de connaitre le mécanisme qui fait fonctionner le stylo.

Le système de remplissage de vos deux stylos est assez simple.

Le levier sur le corps du stylo doit être soulevé sans forcer. Il agit sur une barre de compression qui écrase et chasse l'air du sac en caoutchouc qui aspire l'encre une fois le levier relaché. En général se trouve à l'intérieur un ressort plat qui "aide" le levier à remonter et à rester en place en position de repos. Dans la majorité des cas ce sac est fosilisé mais il y a sur le forum pas mal de réparateurs qui peuvent assurer cette réparation.

Pour le système à bouton poussoir "au cul " du stylo comme ceux présenté sur ce thème c'est encore plus simple. Lorsque l'on appuie sur le bouton il agit sur une barre de compression en acier ressort qui écrase directement le sac en caoutchouc. Pour la suite... etc.

Certes, mais n(oublions pas la géniale invention de Lewis Edson Waterman grâce à laquelle les stylos fonctionnent avec régularité : le "breathing hole". La question que je me pose est : où donc se trouve ce "breathing hole" dans un stylo équipé d'une plume en verre ?

Je pense que le "breathing hole" ou trou d'évent, car je ne sais pas le traduire autrement, est compensé par les cannelures de la plume en verre. Le fond du sillon permet par capillarité l'écoulement de l'encre alors qu'un fin passage non bouché par la section permet à l'air de rentrer. Ce principe multiplié par le nombre de sillons, le système peut fonctionner régulièrement tant que la plume ne sèche pas. C'est ainsi que je le comprends...

Jean.11 a écrit :Le système de remplissage de vos deux stylos est assez simple.

Le levier sur le corps du stylo doit être soulevé sans forcer. Il agit sur une barre de compression qui écrase et chasse l'air du sac en caoutchouc qui aspire l'encre une fois le levier relaché. En général se trouve à l'intérieur un ressort plat qui "aide" le levier à remonter et à rester en place en position de repos. Dans la majorité des cas ce sac est fosilisé mais il y a sur le forum pas mal de réparateurs qui peuvent assurer cette réparation.

Pour le système à bouton poussoir "au cul " du stylo comme ceux présenté sur ce thème c'est encore plus simple. Lorsque l'on appuie sur le bouton il agit sur une barre de compression en acier ressort qui écrase directement le sac en caoutchouc. Pour la suite... etc.

Jean.11 a écrit :Je pense que le "breathing hole" ou trou d'évent, car je ne sais pas le traduire autrement, est compensé par les cannelures de la plume en verre. Le fond du sillon permet par capillarité l'écoulement de l'encre alors qu'un fin passage non bouché par la section permet à l'air de rentrer. Ce principe multiplié par le nombre de sillons, le système peut fonctionner régulièrement tant que la plume ne sèche pas. C'est ainsi que je le comprends...

Merci pour ces explications.