Cet après-midi, sur mes skis de fond de skating, je me disais que les rapprochements à faire avec l’écriture au stylo plume sont nombreux.
(Quand j'ai en truc en tête moi, impossible de skier sans y penser !)
Etonnamment, des principes similaires sont mis en œuvre. Par exemple : il existe des skis dont la cambrure est marquée pour bien relancer sur une neige molle et « chaude » et d’autres qui, à l’inverse, vont se poser bien à plat pour privilégier un plus long temps de glisse sur une neige récente et froide.
Le fartage et la structuration de la semelle sont aussi primordiaux.
Ça évoque les notions de Flex ou de rigidité, et les différentes approches relative à la pointe de la plume.
Et que dire de la surface sur laquelle on souhaite glisser : de la neige ou du papier… Il existe des papiers totalement différents au même titre que la poudreuse que j’ai trouvé sous mes skis cet après-midi et sans rapport avec une neige que le soleil aura fait revenir.
Voilà, voilà … Suis-je à côté de la plaque ?
Il me semble que mon petit équipement de fartage, à base de wax, de brosses, de bougies de réparation, de papier de verre et j’en passe, n’est pas sans évoquer non plus le matériel que je crois deviner chez certains calamophiles restaurateurs de conduits et régleur de plumes.
* Il y a CECI trouvé après avoir rédigé mon petit texte.
