Trois migrants Alsaciens ont trouvé refuge au Plat Pays...
Posté : 19 févr. 2017 16:53
Bonjour les amis !
Lors de la rencontre calamophile de Charleroi, chacun devisait gaiement lorsque je fus soudain pris de pitié à la vue de trois pauvres petits migrants alsaciens venus, semble-t-il, chercher refuge en Belgique, avant de tenter probablement de rejoindre l'Angleterre en embarquant clandestinement sur un ferry...
Ils avaient fait le voyage jusque Charleroi dans une simple boîte en bois, alignés en rang serrés avec d'autres pauvres hères de leur espèce, sans air, sans lumière.
Quel spectacle douloureux...
À cette vision tragique, je sentis mon cœur se fendre et sans plus attendre, je profitai d'un moment de distraction de leur odieux passeur, un rude Alsacien qui leur avait sans doute extorqué leurs derniers sous en leur faisant miroiter l'espoir d'une vie meilleure. Je me saisis d'eux subrepticement pour les dissimuler d'abord dans ma voiture et les ramener ensuite à la maison.
Je n'avais évidemment pas pris le temps de consulter mon épouse avant de poser ce geste fou qui pourrait m'emmener jusqu'en prison, mais lorsqu'elle a vu ces trois malheureux, elle fut à son tour saisie par l'émotion. Elle a d'ailleurs immédiatement adopté l'un d'eux, qui ne la quitte plus désormais.
Je suis tellement heureux d'avoir pu leur offrir une nouvelle vie que je me permets de vous les présenter :
Voici déjà deux photos de groupe :
Ensuite, voici quelques photographies du premier dont j'ai croisé le regard. Il s'appelle Hokkaido et est constitué d'une merveilleuse ébonite Denim que Hobiecat vous a déjà présentée ici.
Voici maintenant son petit frère, qui lui est de couleur sable. C'est pour lui que mon épouse a craqué et qu'elle a adopté. Comme il est encore jeune, elle ne le nourrit qu'avec de l'Iroshizuku Ina-Ho qui lui va très bien au teint.
Enfin, voici le troisième petit réfugié alsacien que j'ai recueilli. Il n'a pas de nom. Il portait simplement une médaille frappée d'un n°7. Il est en grenadille, aussi appelée ébène du Mozambique. Pour qu'il ne prenne pas froid, je l'ai couché sur un doux tatami confectionné par l'une de nos amies communes !
Voilà, je crois que vous connaissez tout le monde maintenant !
Encore merci à Matthieu pour ces superbes réalisations !
Lors de la rencontre calamophile de Charleroi, chacun devisait gaiement lorsque je fus soudain pris de pitié à la vue de trois pauvres petits migrants alsaciens venus, semble-t-il, chercher refuge en Belgique, avant de tenter probablement de rejoindre l'Angleterre en embarquant clandestinement sur un ferry...
Ils avaient fait le voyage jusque Charleroi dans une simple boîte en bois, alignés en rang serrés avec d'autres pauvres hères de leur espèce, sans air, sans lumière.
Quel spectacle douloureux...
À cette vision tragique, je sentis mon cœur se fendre et sans plus attendre, je profitai d'un moment de distraction de leur odieux passeur, un rude Alsacien qui leur avait sans doute extorqué leurs derniers sous en leur faisant miroiter l'espoir d'une vie meilleure. Je me saisis d'eux subrepticement pour les dissimuler d'abord dans ma voiture et les ramener ensuite à la maison.
Je n'avais évidemment pas pris le temps de consulter mon épouse avant de poser ce geste fou qui pourrait m'emmener jusqu'en prison, mais lorsqu'elle a vu ces trois malheureux, elle fut à son tour saisie par l'émotion. Elle a d'ailleurs immédiatement adopté l'un d'eux, qui ne la quitte plus désormais.
Je suis tellement heureux d'avoir pu leur offrir une nouvelle vie que je me permets de vous les présenter :
Voici déjà deux photos de groupe :
Ensuite, voici quelques photographies du premier dont j'ai croisé le regard. Il s'appelle Hokkaido et est constitué d'une merveilleuse ébonite Denim que Hobiecat vous a déjà présentée ici.
Voici maintenant son petit frère, qui lui est de couleur sable. C'est pour lui que mon épouse a craqué et qu'elle a adopté. Comme il est encore jeune, elle ne le nourrit qu'avec de l'Iroshizuku Ina-Ho qui lui va très bien au teint.
Enfin, voici le troisième petit réfugié alsacien que j'ai recueilli. Il n'a pas de nom. Il portait simplement une médaille frappée d'un n°7. Il est en grenadille, aussi appelée ébène du Mozambique. Pour qu'il ne prenne pas froid, je l'ai couché sur un doux tatami confectionné par l'une de nos amies communes !
Voilà, je crois que vous connaissez tout le monde maintenant !
Encore merci à Matthieu pour ces superbes réalisations !