Présentation de Zafu84
Posté : 10 sept. 2018 20:50
Bonjour à tous
Avant le stylo plume, j’ai d’abord découvert, enfant, le plaisir d'écrire.
En CP, ce plaisir d'écrire fut d’abord un cauchemar...
Un porte-plume, une plume, un encrier... et un buvard indispensable car, en bon gaucher, je m’en mettais de partout et je laissais des traces sur l’encre encore fraîche !
Mais j’ai d’abord aimé les mots et le rythme.
Du coup, j’ecrivais des poésies très jeune.
Et j’aimais déjà le contact du beau papier.
Adulte, j’allais dans des boutiques parisiennes chercher des livres reliés avec de magnifiques couvertures et un papier dont la texture me donnait envie d’écrire.
Mais j’utilisais alors plutôt des billes, des rollers, même de qualité... sans pour autant passer à la plume.
Je testais même il y a deux ou trois ans un carnet OGAMI en papier « pierre » sur lequel la bille glisse à merveille.
Mais impossible d'écrire au roller dessus... alors la plume !
Et puis cela faisait quelques mois que la tentation de la plume commençait à se faire sentir.
Mais, d’une sensibilité tactile très importante (je travaille comme thérapeute manuel), je ne pouvais pas imaginer tenir un stylo-plume en plastique ! J’avais besoin d’un contact chaud, vibrant, et d’une matière dans les mains. Il devait peser un certain poids, faire un certain volume.
Alors, pour ce premier plume, j’ai jeté mon dévolu sur un Faber-Castell Ondoro en chêne fumé, avec une plume de taille B.
Je me régale sur mon carnet Lemome à 125g/m2.
Et pourtant, je sens qu’un jour viendront d’autres plumes...
Mais je goûte déjà celui-ci !
Au plaisir
Avant le stylo plume, j’ai d’abord découvert, enfant, le plaisir d'écrire.
En CP, ce plaisir d'écrire fut d’abord un cauchemar...
Un porte-plume, une plume, un encrier... et un buvard indispensable car, en bon gaucher, je m’en mettais de partout et je laissais des traces sur l’encre encore fraîche !
Mais j’ai d’abord aimé les mots et le rythme.
Du coup, j’ecrivais des poésies très jeune.
Et j’aimais déjà le contact du beau papier.
Adulte, j’allais dans des boutiques parisiennes chercher des livres reliés avec de magnifiques couvertures et un papier dont la texture me donnait envie d’écrire.
Mais j’utilisais alors plutôt des billes, des rollers, même de qualité... sans pour autant passer à la plume.
Je testais même il y a deux ou trois ans un carnet OGAMI en papier « pierre » sur lequel la bille glisse à merveille.
Mais impossible d'écrire au roller dessus... alors la plume !
Et puis cela faisait quelques mois que la tentation de la plume commençait à se faire sentir.
Mais, d’une sensibilité tactile très importante (je travaille comme thérapeute manuel), je ne pouvais pas imaginer tenir un stylo-plume en plastique ! J’avais besoin d’un contact chaud, vibrant, et d’une matière dans les mains. Il devait peser un certain poids, faire un certain volume.
Alors, pour ce premier plume, j’ai jeté mon dévolu sur un Faber-Castell Ondoro en chêne fumé, avec une plume de taille B.
Je me régale sur mon carnet Lemome à 125g/m2.
Et pourtant, je sens qu’un jour viendront d’autres plumes...
Mais je goûte déjà celui-ci !
Au plaisir